Chavez, l’Être Humain: Les vautours salivent en espérant sa mort
Publié le 18 janvier 2013
Nous habitons la Terre des Hommes. La «Terre des Hommes»
C’est le nom que l’on avait donné au site de l’exposition universelle de Montréal en 1967 . On représentait le lieu par un cercle d’Êtres Humains se tenant bras dessus, bras dessous. On s’était inspiré du roman de Saint-Exupéry «Terre des Hommes».
Un roman qui parle de vie, de mort et surtout d’amitié, d’entraide, de bravoure et d’héroïsme. Il aurait peut-être mieux valu dire Terre du genre Humain ou Terre des Humains !
Terre
des Hommes, c’est un peu désolant pour celles qui la composent à plus
de cinquante pour cent, mais bon… Cette appellation est aussi le reflet
d’une certaine réalité. Le monde, en grande partie, est dominé par les
Zommes.
Il y a des Hommes et des Zommes. À voir la marche du monde, il semble que les Hommes véritables sont plutôt rares.
Les
vrais Hommes, c’est-à-dire, ces Êtres Humains qui démontrent par leurs
gestes, leurs paroles, leurs regards pénétrants, sincères, francs et
déterminés qu’ils ont du cœur. Des Hommes d’honneur, non pas d’honneurs
militaires, mais bien d’honneur Humain. Peu d’Hommes dans notre
malheureux monde rehaussent la dignité humaine. Hugo Rafael Chávez
Frias est l’un d’eux.
Un
des plus grands Hommes de notre époque lutte pour la vie. Cet Homme,
véritable, a toute sa vie lutté pour la vie. Non pas la sienne, mais
celle de tous.
Hugo
Rafael Chávez Frias a surtout lutté pour la vie des plus démunis. Ceux
dont la vie ne tient qu’à un fil. Les laissés-pour-compte qui relèvent
le défi quotidien de se trouver un peu de riz ou de farine pour se faire
une arépa afin de subsister jusqu’au lendemain. Ces extrêmement
pauvres d’Amérique latine, d’Afrique ou d’ailleurs.
Aujourd’hui, Hugo Chávez lutte pour sa propre vie
Les vautours sont tout autour, espérant sa mort.
Oui,
plusieurs souhaitent la mort de ce grand Homme. Cet Homme qui a buté
hors de son Pays tous ceux qui exploitaient impunément son peuple et
volait leurs richesses. Cet Homme qui a restauré la dignité de ses
concitoyens. Cet Homme qui a permis d’exister à ceux qui n’existaient
pas. Ces gens qui étaient trop pauvres pour être reconnus citoyens. Ou
ces autres qui vivaient dans des régions trop reculées pour faire
valoir leurs droits. Des endroits trop éloignés et isolés pour que les
habitants puissent avoir des droits, mais pas suffisamment pour éviter
qu’ils se fassent exploiter et piller leurs richesses.
Le
Venezuela, un Pays flottant sur les plus grandes réserves d’or noir de
la planète.[1] Le Venezuela un pays où pourtant, malgré l’exploitation
pendant des décennies de cet or noir, il y avait un taux incroyable
d’extrême pauvreté. C’était un Pays géré par des Zommes. Ces êtres
cupides dont la soif du gain croît avec le profit. Ces êtres qui
considèrent leurs semblables nés dans des conditions moins
« favorables » comme de la chair à exploiter ou à éliminer si ceux-ci
entravent leurs entreprises ou, simplement, demandent un partage plus
équitable de leurs propres richesses.
Ces
vautours qui profitaient de la manne pétrolière vénézuélienne ont été
chassés du Venezuela. Dans tout le Pays, les Vénézuéliens et les
Vénézuéliennes ont alors crié : « ¡ Ahora, el petrolio es
venezolano. Es de nosotros mismo ! » [2]
«Maintenant le pétrole est vénézuélien. C’est à nous-mêmes !»
Mis
hors du Pays, non seulement les vautours pétroliers, mais tous ceux qui
utilisaient les citoyens vénézuéliens pour réaliser des profits sans
partage. Cimenteries [3], sidérurgies [4], mines d’or [5], etc.
Et ces vautours financiers remerciés de leurs services (sic) ! [6]
Hugo Chávez a mis au pas tous ces vautours qui sévissaient sans contrainte aucune. Il faut l’entendre ici :
Nul autre que lui ne peut aussi bien résumer, en quelques mots bien choisis et bien sentis, toute la situation.Voilà en bonne partie qui sont ces vautours qui salivent en rêvant depuis des années à sa disparition.
Il
y a aussi les larbins [7] qui, par conditionnement, souhaitent sa
mort. Ces sous-fifres prêts à renier leur propre mère pour servir leurs
maîtres.
Comme ces journalistes propagandistes qui se donnent pour mission de faire valoir l’idéologie d’exploitation néolibérale.
Tous
ces grands groupes de Presse de masse au service de l’idéologie de
l’exploitation des démunis pour maintenir la croissance infini. Radio-Canada
le nomme le « despote », les grands médias français lui attribuent
régulièrement le titre de « dictateur » ou de « tyran » !
Ces
journalistes (sic) qui ne semblent ne plus avoir de sentiments humains
font partie de ces groupes de vautours salivant à l’idée de voir enfin
le dernier souffle de Chávez. Leur Une est sans doute déjà prête. On
les sent entrevoir la possibilité du retour de l’exploitation d’antan
avec une satisfaction frénétique. Une satisfaction que l’on pourrait
qualifier d’immorale et même d’indécente. Comme
cette satisfaction indécente qu’ils nous ont démontrée lorsqu’ils
publiaient avec satisfaction les photos du corps sans vie et ensanglanté
du guide libyen et de son fils lâchement assassiné. Immoral et
indécent.
Heureusement,
notre monde ne se compose pas uniquement de ces vautours. Des millions
de personnes prient quotidiennement pour que ce personnage unique tant
aimé et tant apprécié qu’est Hugo Rafael Chávez Frias récupère et nous
revienne encore plus vigoureux que jamais.
Nous connaissons tous les dangers sournois du cancer. Au
Canada, nous avons vécu le départ soudain d’un autre Homme politique de
cœur, le bon Jack Layton [8]. Jack avait récupéré. Jack semblait
avoir vaincu ce mal vicieux, mais le cancer, comme ces vautours toujours
à travailler pour parvenir à leurs fins, est revenu et l’a terrassé.
Hugo
Chávez lutte contre un ennemi sournois, le cancer. Hugo Chávez a lutté
toute sa vie contre des ennemis sournois. Il est un des Hommes ayant
les meilleures qualités et la meilleure expérience pour parvenir à
vaincre ces ennemis déloyaux. Mais le cancer…Hugo Chávez semble vaincre
le cancer.
Une
sorte de miracle. Comme si l’amour que ces millions de gens à travers
le monde lui apportent lui donnait l’énergie nécessaire pour vaincre
cette terrible maladie.
Mais quelque soit l’issu de ce grand combat, Hugo Chávez ne mourra jamais. Chávez est immortel.« Todos somos Chávez »
Yo soy Chávez !
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