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LES MOYENS : DES ACTIVISTES PRO-DÉMOCRATIE SPONSORISES
Ces révolutions de Rothschild se font sous le prétexte d'apporter la démocratie et déposer des despotes, mais l'objectif réel est de créer initialement un chaos et un vide, puis rapidement d’offrir une solution : installer une marionnette qui exécutera les ordres économiques de la famille Rothschild. Les citoyens gagneront la liberté d'expression et d'association, mais deviendront des serfs économiques.
Ces révolutions sont probablement coordonnées au plus haut niveau par le groupe de gestion de crise ‘Rothschild International Crisis Group’. Mohamed ElBaradei est déjà être présenté comme un nouveau leader pour l'Égypte. El Baradei est un administrateur de l'International Crisis Group. Un autre membre du Conseil de ce groupe est Zbigniew Brzezinski. George Soros siège au Comité exécutif. Les deux derniers sont des hommes de terrain omniprésents pour la famille Rothschild.
Ces révolutions sortent du même manuel que les « révolutions des couleur» pratiquement non-violentes. Ces révolutions ont réussi en Serbie (surtout la Révolution Bulldozer (2000), la Révolution Rose en Géorgie (2003), la Révolution Orange en Ukraine (2004), la révolution du cèdre au Liban et (bien que plus violente que les précédentes) la Révolution des Tulipes au Kirghizistan (2005) et la Révolution du Jasmin en Tunisie. La Révolution Verte en Iran (2009) a échoué.
Le libéral milliardaire George Soros a financé la formation des activistes en Afrique du Nord.
‘The Gardian’ a signalé (26 Nov 2004), que les suivants étaient « directement impliqués » dans l'organisation de ces révolutions : l’Open Society Foundation de George Soros, le National Endowment for Democracy (NED), l'International Republican Institute et la Freedom House. Le Washington Post et le New York Times rapportent aussi une importante participation occidentale à certains de ces événements.
Des militants d’Otpor en Serbie ont dit que les publications et la formation qu’ils ont reçues du personnel de l’Institution Albert Einstein basée aux États-Unis ont contribué à la formation de leurs stratégies. L'Albert Einstein Institution est financée par la Fondation Soros et le NED. (Wikipédia)
Dans l'article « La révolte de Géorgie portait la marque de Soros » (le 26 novembre 2003), le ‘Globe & Mail’ a signalé, « [l’Open Society Institute des Soros] a envoyé un militant de Tbilissi de 31 ans nommé Giga Bokeria en Serbie pour rencontrer les membres du mouvement Otpor (la résistance) et découvrir comment ils ont utilisé les manifestations de rue pour renverser le dictateur Slobodan Milosevic. Puis, pendant l'été, la fondation de M. Soros a payé un voyage de retour vers la Géorgie à des militants Otpor, qui ont dirigé un séminaire de trois jours d'enseignement pour plus de 1 000 étudiants sur la manière de mettre en scène une révolution pacifique. "
Des militants égyptiens portant des chemises d’Otpor. Otpor a été lancé par Soros en Serbie et a formé des militants dans d’autres révolutions de couleur
Plusieurs organisateurs des protestations portaient dans les rues en Égypte la semaine dernière, des t-shirts Otpor. Ces t-shirts sont remis par Otpor lors des sessions de formation. Il s'agit seulement de dire qu'il peut y avoir un lien ici, entre Soros et les manifestants tunisiens.
En 2007-2008, la Freedom House [financée par Soros et le Middle Eastern Partnership Initiative (MEPI)] a dirigé le programme suivant : "Nouvelle Génération de Défenseurs, un programme financé par le MEPI qui soutient de jeunes militants de la société civile, travaillant pour un changement politique pacifique au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, fer de lance de la campagne "Avocats contre la Corruption" en Tunisie.» (Site de Freedom House). Le groupe de « journalistes, avocats et autres activistes partisans de la réforme démocratique » eurent une rencontre avec la secrétaire d'Etat de l’époque, Condoleezza Rice, lors d'un voyage à Washington lors de la Journée internationale des Droits de l'Homme, le 10 décembre 2008. En mai 2009, la Secrétaire d'État américaine Hillary Clinton a rencontré le groupe militant/dissidents. Sur leur site web, Freedom House a signalé que le groupe a également visité « des fonctionnaires gouvernementaux américains, membres du Congrès, des médias et des groupes de réflexion... Après son retour en Égypte, les boursiers ont reçu des petites subventions pour mettre en œuvre des initiatives innovatrices comme la défense d’une réforme politique à travers Facebook et la messagerie SMS. »(c'est moi qui souligne)
Et toujours du site de Freedom House : « Du 27 février au 13 mars [2010], Freedom House a accueilli 11 blogueurs du Moyen Orient et d’Afrique du Nord pour un voyage d'étude avancé sur les nouveaux médias de deux semaines à Washington, D.C. »
En 2010, l’Open Society Institute de Soros, financé par une subvention appelée « peut-on Tweeter son chemin vers la démocratie ? La promesse de médias participatifs en Afrique » est décrit sur le site internet de l'OSI, comme « ....L’Éthiopie et l'Égypte ont fait l'objet actuellement du programme de recherche ; le financement d'OSI permettra au projet d’être élargi pour y inclure : l'Ouganda, le Zimbabwe, la Tunisie, l'Érythrée et le Rwanda.... Il est à espérer que cela contribuera à la compréhension des nouveaux médias en Afrique et ses liens avec la démocratisation. Il vise également à ce que l'étude soit utilisée comme matériau de ressource pour les futures recherches. »
Facebook et Twitter ont été le principal moyen d'organiser la révolution en Égypte: « Des militants du mouvement égyptien de Kifaya (assez)– une coalition d’ opposants au gouvernement – et le mouvement de jeunesse du 6 avril organisait les manifestations sur Facebook et Twitter.... » (La voix de l'Amérique)
Dans le ‘ Foreign Policy Journal’ (Journal de politique étrangère), le Dr D.K. Bolton (19 jan 2011) écrit, "Le NED [National Endowment for Democracy]et Soros travaillent en tandem, ciblant les mêmes régimes et utilisant les mêmes méthodes.... Au moins dix des vingt-deux directeurs du NED sont également membres du ‘réservoir de réflexion ploutocratique, le Council on Foreign Relations.... " (Les Conseil des Relations étrangères estla sœur américaine de la Rothschild Royal Institute of International Affairs en Grande-Bretagne: les deux sont des instruments de contrôle ploutocratique se cachant au vu de tous.
Ce qui suit est une liste partielle des subventions accordées venant du site internet du NED pour 2009 (la dernière année disponible) :
En Tunisie, le focus était sur la formation de jeunes militants :
" Forum Al-Jahedh pour la libre pensée 131 000 $ Pour renforcer les capacités et construire une culture démocratique parmi les jeunes Tunisiens militants.
" Le Centre Mohamed Ali pour la Recherche, les Etudes et la Formation33 500 $ Pour former un groupe d'activistes de la jeunesse tunisienne au leadership et au sens de l'Organisation pour encourager leur participation à la vie publique. [MACRST] procédera à une formation intensive de quatre jours d’un programme formateurs pour un groupe de 10 jeunes militants civiques tunisiens au leadership et au sens de l'organisation ; va former 50 activistes mâles et femelles âgés de 20 à 40 ans au leadership et au pouvoir décisionnel ; et travaillera avec des activistes formés par le biais de 50 visites sur place à leurs organisations respectives.
"Association pour la Promotion de l'éducation 27 000 $ Afin de renforcer la capacité des enseignants du secondaire tunisien pour promouvoir les valeurs démocratiques et civiques dans leurs classes. L’APES va procéder à un atelier de formation de formateurs pour 10 professeurs d'université et des inspecteurs scolaires et tenir trois séminaires de renforcement des capacités de deux jours pour 120 enseignants du secondaire.... »
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